Ce qui s’est passé au Fairground ne reste pas au Fairground

Ce qui s’est passé au Fairground ne reste pas au Fairground

Partager

Les lumières se sont éteintes avec le lever du soleil, au petit matin du dimanche 21 juillet à l'Ecovillage de Sousse.

 

Une rivière humaine de milliers de personnes, sourires aux lèvres malgré la fatigue des deux jours de musique électronique, pour la 4ème édition du Fairground Festival, qui s'est tenue les 19 et 20 juillet.

 

Deux scènes, éméttant en simultané, partagées en «Main stage» où scène principale, et un «second stage» nommé par les festivaliers «scène alternative».

 

Cette édition a vu défiler des Djs venus des quatre coins de la planète, des artists exposants et des maîtres d'oeuvres en son et lumières.

 

Pour cette année, en bonus, une charte écologique qui responsabilise festivaliers et organisateurs. De la musique, de l'amour et beaucoup d'alchimie. Des artistes internationaux de renom comme Recondite, Giorgia Angiuli, Artbat, HVOB et autres, ont meublé la programmation du Main Stage.

 

Mais la mention spéciale sans équivoque va pour la scène alternative qui a programmé plus de 20 sets de Djing et de live acts d'artistes tunisiens. De Botti, à Khaled Mrabet, en passant par Melkart, Hearthug et S-Insane ou LFNTS, autant de projets créatifs et innovants, brossant toutes les niches de la musique électronique.

 

Cette seconde scène a vu défiler un public eclectique, venu découvrir ou soutenir des artistes qu'il connaît déjà. Les festivaliers ont dansé jusqu'au bout de la nuit et bien après le lever du soleil, encadrés par un bataillon humain d'agents de sécurité, de la protection civile et de bénévoles et équipe d'organisation, qui ont veillé au grain à ce que le moindre incident ne vienne perturber la joie de personnes venues des quatre coins de la Tunisie et du monde entier suivre ce festival qui ne cesse de s'affirmer et de faire parler de lui dans les médias locaux et internationaux.

 

Longue vie au Fairground, longue vie aux festivals tunisiens et à la fête.

 

Photo de couverture © Moujahed Modjo